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Crowd equity : comprendre le financement participatif par actions

En bref : le crowd equity, c’est quoi ?

🎯 Je vais droit au but, parce que vous n’avez pas le temps (moi non plus d’ailleurs). Vous cherchez à comprendre le crowd equity ? Voici les 5 points clés à retenir :

  • Financement participatif en actions : vous investissez directement dans le capital de startups ou PME.
  • Potentiel de rentabilité élevé (mais gros risque, j’insiste).
  • Plateformes spécialisées comme WiSEED, Tudigo, Anaxago, Lendopolis… surtout en France.
  • Alternatif au crowdlending (où on prête, ici on devient actionnaire).
  • Règlementation surveillée, mais attention à la liquidité et à la perte potentielle totale de la somme investie.

En deux mots : le crowd equity c’est un moyen pour les particuliers de booster leur épargne autrement, en pariant sur des entreprises à fort potentiel… ou à gros gadin. Allez, on entre dans le vif du sujet. Pour approfondir d’autres sujets du monde pro, je vous invite à consulter conseils pour un panorama étendu.

Qu’est-ce que le crowd equity et comment fonctionne ce modèle ?

Bon, la plupart des gens pensent tout connaître parce qu’ils ont lu trois posts LinkedIn sur le financement participatif. Franchement, le crowd equity c’est pas le truc de grand-mère. Il s’impose en France depuis quelques années — je l’ai moi-même découvert sur un salon de l’innovation, le genre où les stands sont pleins de jeunes en baskets qui draguent les investisseurs à coups de pitch de 3 minutes.

Crowd equity, ou equity crowdfunding, ça signifie simplement mettre son argent, avec d’autres “petits” investisseurs, dans une entreprise non cotée. Concrètement, j’achète un bout d’une PME ou d’une startup, et si elle cartonne je gagne (souvent au moment d’une revente ou d’une introduction), si elle se ramasse… ben, je perds.

  • Une plateforme centralise les projets à financer (exemple : Tudigo, WiSEED, Anaxago…)
  • Vous sélectionnez votre société (certains montants mini dès 100 ou 1000 €)
  • En échange de votre investissement, vous obtenez des actions
  • Vous devenez co-actionnaire (pas décisionnaire, soyons honnête, sauf si vous sortez le gros chéquier)
  • Évolution : soit la boîte explose et vous revendez cher, soit elle végète, soit elle ferme (qui a vendu du rêve ?)

Un point marquant : l’argent est bloqué sur plusieurs années. Ce n’est ni liquide ni garanti, rien à voir avec un livret bancaire. Ce fonctionnement peut ressembler à la fusion simplifiée de business (voir fusion simplifiee), mais avec des inconnus pour copilotes.

Le crowd equity expliqué aux débutants : premier pas vers l’investissement

J’ai fait mon premier investissement en crowd equity sur un coup de tête après avoir entendu un entrepreneur raconter qu’il vendrait ses croquettes “connectées” pour chats partout en Europe. Honnêtement, au début j’ai rien capté à la due diligence ou à la valorisation. Ce n’est pas plus compliqué que ça :

  • On s’inscrit sur une plateforme ultra rapide (plateformes crowd equity comme WiSEED ou Tudigo)
  • On parcourt les dossiers d’entreprises — business plans, objectifs, parfois vidéos déjantées
  • On décide du montant à investir (souvent à partir de quelques centaines d’euros, parfois mille)
  • On attend… 2, 3, 5 ans (oui, c’est long — mieux vaut aimer la patience ou l’adrénaline pas payante)
  • Si ça décolle, jackpot ; si ça plante, c’est la vie (faites mieux la prochaine fois ou… pas)

Ecoutez, le crowd equity c’est tout sauf un casino, mais il faut accepter d’être parfois spectateur de l’aventure entrepreneuriale. Si vous aimez comparer différents montages juridiques, allez jeter un œil sur societe transparente, intéressant pour voir comment peut s’organiser la détention d’actions.

Comment évaluer une opportunité de crowd equity ?

Passons au sérieux (ou au moins, tentons). La clé dans le crowd equity — à mon sens — c’est de ne pas choisir au hasard. Je me suis déjà planté, et ça pique vite quand la boîte dépose le bilan au bout de deux ans… Bref, voici mes critères (et ceux des pros)  :

  • Marché adressé & solides clients (business-plan crédible indispensable)
  • Équipe des fondateurs : expérience, complémentarité, engagement
  • Ambitions — et réalisme : lever 2 millions sur un site web de niche, voilà…
  • Valorisation : trop élevée, fuyez (personne ne vous donnera plus sur la sortie)
  • Sortie envisagée : revente, introduction en bourse ou dividendes ?
  • Termes de l’investissement et protection (pacte d’actionnaires, anti-dilution…)

Évaluer une opportunité en crowd equity nécessite du temps, de la curiosité et, franchement, une bonne dose de scepticisme. D’ailleurs, cela peut recouper la gestion de comptabilite oxygene quand on veut jauger la santé de l’entreprise cible.

Pourquoi choisir le crowd equity pour investir ?

L’idée, c’est pas juste de faire “branché” sur LinkedIn. Investir en crowd equity offre une série d’avantages qu’on ne retrouve pas ailleurs. Mais, croyez-moi, ce n’est pas la martingale. Vous vous dites peut-être : “ok, mais pourquoi ce modèle plutôt qu’un PEA classique, ou la Bourse ?” Bonne question.

  • Accès direct à l’économie réelle – on finance “dans le dur” des entreprises françaises (souvent locales, dans l’immobilier, ou green tech…)
  • Potentiel de rendement élevé – certains projets affichent du x2 ou x3 sur 4 ou 5 ans (attention, beaucoup finissent à zéro)
  • Sentiment d’utilité : soutien à l’innovation, démarche engagée
  • Tickets d’entrée faibles — pas besoin d’être millionnaire pour se lancer
  • Fiscalité avantageuse : en France, possibilité de défiscalisation IR-PME voire PEA/PERP selon les cas

C’est aussi une manière de diversifier son épargne, surtout si on a déjà fait le tour des produits classiques (assurance-vie, SCPI, etc.). Néanmoins, je vous recommande la prudence : ne mettez qu’une toute petite partie de votre capital, genre 5 % maximum, parce que la volatilité c’est un beau mot qui cache de grosses pertes.

Et attention, c’est pas un placement pour gagner une prime de bilan (pour ça, voir prime de bilan), ici c’est de la prise de risque pure.

Crowd equity et rentabilité : ce qu’il faut savoir avant d’investir

Ça y est, la fameuse question (j’y ai eu droit mille fois par mes proches) : Est-ce que le crowdfunding est rentable ? Alors, la réponse est… nuancée. Le crowd equity promet parfois des rendements “de rêve”. Mais la réalité :

  • Les plateformes annoncent des retours moyens de 7 à 12 %/an sur les dossiers gagnants.
  • En pratique, moins de 30 % des deals apportent un vrai gain (et parfois, seuls 10 % cartonnent vraiment).
  • Rendement dépend toujours d’une sortie positive (revente de la start-up, dividende, etc.).
  • Beaucoup d’échecs : l’argent peut être totalement perdu.

Voilà. Je vous le dis franchement : la rentabilité du crowd equity, c’est top sur le papier, mais il faut être patient et accepter la case “tout perdu”. Pour ceux qui veulent plutôt aller sur une approche progressive et structurée, pensez à la technique du lead nurturing, ça s’applique aussi à la gestion du risque dans vos investissements.

Reste qu’à chaque réussite, la plateforme met en avant exemples et témoignages (un bon coup de projecteur marketing, mais c’est rare d’être dans ces “success stories”).

Crowd equity et rentabilité : exemple chiffré et retour d’expérience

Pour illustrer, un cas réel (en 2023 chez WiSEED) : une PME innovante dans l’agro-alimentaire, levée de 1,2 million d’euros sur 580 investisseurs. Trois ans après, revente avec un rendement net de +62 % pour les actionnaires. Mais deux autres sociétés, dans la foodtech aussi, se sont plantées la même année et ont perdu 100 % du capital levé.
Voilà la réalité du crowd equity : on mise beaucoup sur quelques coups gagnants pour compenser toutes les fausses pistes.

Tableau : synthèse rendement/risques sur 10 campagnes (2022-2023)

Plateforme % campagnes au succès (>+30%) % échec total Durée moyenne constatée
WiSEED 28 % 38 % 3,6 ans
Tudigo 22 % 35 % 3,9 ans
Anaxago 18 % 42 % 4,1 ans

À mon sens, il faut prendre ces chiffres avec des pincettes : les plateformes crowd equity sont transparentes, mais il reste beaucoup d’aléa — plus que sur tout autre produit d’investissement accessible au particulier.

Les meilleures plateformes de crowd equity en France en 2025

Une question qui revient, encore et encore : quelle plateforme choisir pour investir en crowd equity ? Et au fond, est-ce que ça change vraiment ? Eh bien, oui ! Parce que chaque plateforme a sa spécialité, sa culture, son public, ses deals…

Liste des principales plateformes de crowd equity en France

  • WiSEED : pionnière, généraliste, beaucoup de projets, historique solide.
  • Tudigo : très axée territoires, accès PME/commerce local & immobilier.
  • Anaxago : haut de gamme, sélection pointue, secteur immobilier en force.
  • Lendopolis : soutenue par La Banque Postale, surtout immobilier.
  • Crowdcube (pour l’Europe) : permet d’accéder à des entreprises hors de France (attention : fiscalité différente).

Personnellement, j’ai testé WiSEED et Tudigo, les deux sont efficaces — interface, flux d’infos, reporting… Mais c’est le feeling sur la sélection des projets qui prime. J’ai croisé des investisseurs qui “collectionnent” les tickets sur toutes les plateformes de crowd equity… À vous de voir où vous vous sentez à l’aise.

Tableau comparatif des plateformes crowd equity françaises (2025)

Plateforme Secteurs phares Ticket minimum Nombre de projets financés Notation utilisateurs (2025)
WiSEED Startups, Immobilier, GreenTech 100 € +1800 4,7/5
Tudigo Commerce, PME locales 100 € +700 4,6/5
Anaxago Immobilier, PME premium 1000 € +350 4,3/5
Lendopolis Immobilier 100 € +500 4,4/5

Astuce de pro : vérifiez les frais d’entrée/sortie, le reporting, la profondeur des infos fournies, et la qualité du SAV… Les plateformes de crowd equity sont globalement sûres en France, mais on n’est pas à l’abri des bugs ou d’un service client pas trop motivé.

Sur le plan réglementaire, la France est l’une des plus strictes d’Europe : labellisation AMF obligatoire pour chacune de ces plateformes. Donc vous évitez (le plus souvent) les arnaques.

Plateformes de crowd equity : critères de choix essentiels

  • Transparence des projets présentés (accès business plan, équipe, comptes clés…)
  • Expérience et réputation : plus une plateforme est ancienne, plus retour d’expérience
  • Secteur de prédilection (immobilier, digital, commerces, green tech…)
  • Facilité de retrait et reporting après investissement
  • Présence d’un second marché (possibilité de vendre ses parts, rare… mais gagne à l’être)

Pour les profils prudents, privilégiez les plateformes qui financent des entreprises installées et suivies de près. Si vous aimez le risque, foncez sur les pépites early stage, souvent là où les plus gros gains… ou où tout disparaît.

Vous voulez approfondir l’analyse du rapport avantages/inconvénients ? Découvrez comment ça se passe pour d’autres statuts hybrides avec la scop avantages inconvenients.

Quels sont les avantages et les risques du crowd equity ?

Je vous le dis directement : le crowd equity est le couteau suisse de la prise de risque. Beaucoup de promesses, mais aussi pas mal de pièges, alors il faut être lucide et bien informé avant de faire chauffer la CB.

  • Potentiel de rendements très élevés (mais la médaille a un revers… souvent sévère)
  • Participation à l’économie réelle, innovation, impact local ou écologique
  • Accès facilité et démocratisé (procédure 100 % en ligne, gestion allégée)
  • Sentiment d’appartenance à un projet, réseau…
  • Fiscalité attrayante en France (défiscalisation jusqu’à 25 % de l’IR dans certains cas, PEA-PME etc.)

Mais, ne vous voilez pas la face. Les risques du crowd equity :

  • Perte totale du capital
  • Blocage de fonds de plusieurs années (pas de liquidité immédiate)
  • Survalorisation de certaines startups/pme, peu de contrôle de l’investisseur individuel
  • Reporting parfois minimaliste (surtout si la boîte patine…)
  • Dilution potentielle lors de futures levées de fonds

Je conseille d’assumer d’avance que chaque investissement en crowd equity peut finir à zéro. Si ce n’est pas le cas… champagne. Sinon, tant pis, ça fait partie du jeu. Pour ceux qui veulent connaître d’autres types de remises et mécanismes financiers, je conseille d’aller voir ce sujet sur remise commercial.

Risques et précautions en crowd equity : mon expérience directe

Je me souviens d’un dossier où j’étais surexcité — plateforme “premium”, business plan carré, équipe avec des anciens d’HEC, etc. Résultat, mauvais timing, pivots ratés, marché qui explose… capital perdu en 2 ans. Alors, protégez toujours votre capital, investissez de petits montants (jamais plus qu’on est prêt à perdre) et diversifiez… Diversifiez !

Choisissez des secteurs que vous connaissez un peu. C’est comme le marketing mix (marketing mix) : on ne peut pas tout anticiper, mais on peut au moins comprendre où on met les pieds.

Crowd equity vs autres formes de financement participatif : différences clés

On entend tout, et n’importe quoi, sur ces sujets. Alors, crowd equity ou crowdlending, crowdfactoring… rien à voir, vraiment. Attention à ne pas confondre (et moi-même j’ai mis du temps à piger la différence… plutôt subtil pour un non-initié).

  • Crowd equity / equity crowdfunding : vous devenez actionnaire — part des bénéfices (ou des pertes)
  • Crowdlending : vous prêtez de l’argent, vous êtes remboursé sur un délai fixé, avec intérêts
  • Crowdfactoring : vous financez à plusieurs une créance, la société touchera l’argent plus vite et vous, un petit rendement (faible risque, durée courte)
  • Crowdfunding “don simple” : soutien sans retour, ou contre un produit (ex : Ulule, Kickstarter…)

En d’autres termes, le crowd equity c’est le mode le plus risqué mais potentiellement le plus rémunérateur, le crowdlending c’est la version “bon père de famille”, le crowdfactoring joue la sécurité à court terme. Faites bien gaffe à ce que vous choisissez…

Crowd equity vs crowdfactoring : clarification essentielle

La question “qu’est-ce que le crowdfactoring ?” revient souvent. Crowdfactoring = financement collaboratif de créances d’entreprises, typiquement sur 2 à 6 mois, rendement moyen 3 à 6 %, mais “quasi” pas de risque : la créance est assurée. Alors que le crowd equity c’est la prise de participation sur le capital, sur plusieurs années, incertitude totale.
Bref, rien à voir !

Conseils personnalisés pour investir en crowd equity selon votre profil

  • Débutant : diversifiez, petits tickets, ne croyez pas la première “success story” venue
  • Expérimenté : analysez la valorisation, le secteur, sollicitez la communauté/experts
  • Amateur d’immobilier : regardez les plateformes axées “immeubles” (Anaxago, Lendopolis…)
  • Optimisation fiscale : visez projets labellisés IR-PME/fiscalité PEA-PME

En toute sincérité, pour ceux qui veulent pousser plus loin l’analyse de modèles d’affaires, inspirez-vous de la notion de methode osbd qui invite à structurer ses choix et décisions, même pour l’investissement.

Glossaire crowd equity express

  • Equity crowdfunding/crowd equity : financement participatif en actions
  • Ticket : montant minimum d’investissement par projet
  • Book (dossier) projet : ensemble des infos remises par la société
  • Sortie / Exit : revente des actions, dividendes perçus ou liquidation
  • Dilution : perte de part relative lors de futures levées de fonds

Gardez ce lexique sous la main : chaque plateforme crowd equity a ses propres expressions, mais on retombe toujours sur ces bases-là.

Conclusion : investir en crowd equity, audace ou inconscience ?

Voilà — on a fait le tour, ou presque. Le crowd equity, c’est l’outil idéal si vous aimez l’aventure entrepreneuriale, l’idée de soutenir l’économie réelle ou tout simplement pimenter vos placements… Mais c’est aussi, à mes yeux, parfois brutal. On peut gagner gros, on peut tout perdre. C’est le jeu. Et… franchement, la plupart des gens devraient y aller tout doux.

Mon conseil : informez-vous, diversifiez à l’extrême, suivez vos investissements… et acceptez l’idée de ne jamais revoir certains euros. L’adrénaline, c’est la valeur ajoutée du crowd equity. Bref, prenez des risques, mais des risques assumés ! Et si l’envie vous prend d’approfondir d’autres concepts clés du monde pro, repassez sur conseils : on ne sait jamais, une idée peut en cacher une autre.

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Clémentine Delabre

Je suis Clémentine, consultante senior en développement commercial et rédaction web spécialisée pour les professionnels ambitieux.

Depuis plus de 10 ans, j’accompagne dirigeants, consultants et entrepreneurs dans la croissance de leur activité à travers des contenus clairs, argumentés et orientés résultats.

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